Accueil > Le Mag > Albert School : l’école d’excellence spécialisée data & business

Née il y a un an à peine, Albert School fait déjà figure d’ovni dans l’écosystème des formations post-bac spécialisées. Installée au sein d’un magnifique campus dans le Xe arrondissement de Paris, la « Business school 100% data driven » revendique l’excellence de son positionnement de façon décomplexée.

Aujourd’hui, les données sont partout. Et dans un monde bouleversé par le numérique, elles sont devenues indispensables pour le business. Il y a une valeur énorme à tirer de l’exploitation des données, en particulier avec l’IA.

Albert School, mi-école de commerce, mi-école d’ingénieur

Les mots sont forts, les promesses ambitieuses.

« approche pédagogique innovante », « éducation d’excellence », « nous garantissons une éducation efficace », « l’école prépare les leaders de demain », « former les talents qui feront la différence », « l’école garantit à ses étudiants de nombreux débouchés »…

Elles tranchent avec les discours souvent formatés communément exploités par d’autres formations.

Il faut admettre qu’Albert School a su bien s’entourer.

La référence totémique au génie créatif d’Albert Einstein d’abord, suffirait à illustrer l’objectif fièrement affiché de ses jeunes fondateurs : « réinventer la préparation de ses étudiants au monde de l’entreprise » en associant données (et donc mathématiques) et business comme levier d’innovation dans l’entreprise.

Un problème sans solution est un problème mal posé.
Albert Einstein

Le soutien financier de quelques illustres noms de l’entrepreneuriat ensuite (Bernard Arnault, Xavier Niel…) renforce ce sentiment d’école à part qui fonde sa pédagogie sur la formation de professionnels performants, exigeants et opérationnels.

Plus spécifiquement, Albert School fait la démonstration de son approche « disruptive » en insistant sur plusieurs facteurs.

Synergie data / business

Elle s’inscrit dans des objectifs « d’amélioration de l’efficacité opérationnelle, de transformation de l’expérience clients, de maîtrise des risques, ou encore d’innovation ». Data et business sont les deux faces d’un même et ultime dessein : exploiter les données comme vecteur de valeur pour l’entreprise.

Partis-pris pédagogiques novateurs

…qui mêlent enseignements académiques « d’excellence » parce que dispensés par des intervenants de haut vol, et mises en application fréquentes, dans le cadre des Business deep dive par exemple.

Processus d’admission sélectif et néanmoins ouvert

« Préparer les leaders de demain » requiert préalablement d’identifier celles et ceux qui ont le profil pour y parvenir. Dossier de candidature hors Parcoursup, test de logique et entretien constituent les 3 étapes successives du processus d’admission.

Entièrement gratuit, il tend à permettre à chaque talent en devenir d’intégrer l’école.

Par ailleurs, des bourses pourront être, sous conditions, attribuées à certains étudiants.

campus albert school paris
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Bachelor ou PGE Albert School et titre RNCP

Le Bachelor Business & Data est un programme en 3 ans sanctionné par un titre RNCP niveau 6 (Bachelor). Il comprend plus de 2000 heures de cours réparties en 4 grandes matières :

  • Data;
  • Mathématiques;
  • Business;
  • Humanités.

Les étudiants qui le souhaitent pourront poursuivre en master (programme grande école) et choisir l’une des 4 spécialisations proposées en 4e et 5e année :

  • Msc Data for business;
  • Msc Data & marketing;
  • Msc Data for finance;
  • Data for sustainability.

Il débouche sur un titre RNCP de niveau 7 (Programme Grande Ecole et Masters of Science).

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ALBERT SCHOOL : L’ENTRETIEN DÉCOUVERTE

Mathieu SCHIMPL, Directeur des opérations d’Albert School, a accepté de répondre à nos questions.

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picto tonavenirComment expliquer à un élève de 1ère ou de terminale le concept et les enjeux de la data et ses interactions avec le « business »​ ?

fondateur albert schoolMathieu SCHIMPL • Pour la plupart des élèves de 1ère ou de terminale, le mot “data” n’évoque pas grand chose. Pourtant, sans le savoir, ils en produisent et en utilisent à chaque instant.

Une bonne illustration sont les réseaux sociaux : TikTok, Insta, Youtube. Ces entreprises reposent sur la data et son exploitation.

Lorsqu’un élève va sur TikTok ou autre, les vidéos vues, likées, commentées sont autant de data (= données = informations) enregistrées sur son comportement.

Pourquoi ces entreprises collectent-elles et analysent-elles ces données ?

Parce que cela leur permet d’afficher d’autres contenus les plus susceptibles de plaire à chaque utilisateur et de maximiser ainsi le temps qu’ils passent sur la plateforme.
Plus ils y passent de temps, plus les plateformes peuvent vendre des écrans publicitaires et gagner de l’argent.

Voilà maintenant le lien fait entre la data et le business !

Ce qui fonctionne pour les réseaux sociaux fonctionne également pour toutes les entreprises, y compris dans les secteurs d’activité les plus ancestraux, comme les commerces de distribution de nourriture par exemple.

En analysant les ventes de produits en magasin, un distributeur est capable de modifier son offre afin de maximiser sa marge par exemple.

Les entreprises qui savent mieux utiliser la data que leurs concurrentes ont de meilleures performances.
Cette révolution de la data s’applique à tous les métiers : marketing, finance, opérations, logistique, responsabilité sociale et environnementale…

Les profils capables de comprendre à la fois les enjeux data et les enjeux métiers sont aujourd’hui les plus recherchés sur le marché du travail.

picto tonavenirAlbert School met en avant les parcours prestigieux dont sont issus ses fondateurs et ses enseignants pour valoriser ses formations. Que manque-t-il aujourd’hui à des écoles telles que Polytechnique, HEC ou l’ENS au regard de ce que propose Albert School ? Autrement dit, qu’est-ce qui distingue fondamentalement cette dernière des premières ?

Ce qui distingue Albert School des autres grandes écoles, c’est le parti pris de l’excellence professionnalisante.

Albert School forme dès la première année d’étude supérieure à la fois à la data et au business, ce qui est une singularité dans un monde où les grandes écoles en France sont encore soit de commerce ou d’ingénieurs, n’enseignant pas, de fait, soit la data, soit le business à leurs étudiants.

L’excellence

  • à travers le recrutement de nos étudiantes et étudiants qui est exigeant : examen de logique et de mathématique, étude des dossiers, entretien d’admission avec l’un des fondateurs;
  • à travers nos enseignants, tous issus des plus grandes écoles et universités françaises et internationales (X, HEC, ENS, Sciences Po, Berkeley…), et qui pour l’essentiel occupent des postes à responsabilités dans des grands groupes, des startups, des administrations et viennent transmettre avec passion leurs savoirs.

L’excellence professionnalisante.

Cela se traduit par une implication hors du commun d’entreprises dans la pédagogie de l’école dès la première semaine de la première année.

Toutes les 3 semaines, une nouvelle entreprise vient dans l’école et nos étudiant/e/s préparent l’arrivée d’un top exécutif qu’ils interviewent pendant 2 heures. L’occasion unique de tutoyer des entrepreneurs et dirigeants d’entreprises, de les interroger sur leur parcours, leur secteur, leur entreprise.

Un cas data et business est dévoilé que nos étudiants doivent craquer en 3 semaines avec le support d’équipes opérationnelles data et business de l’entreprise avant une restitution devant un jury de l’entreprise.

BCG, Carrefour, Louis Vuitton ou Orange font partie des entreprises qui interviennent en première année.

picto tonavenir« Albert School applique une sélection rigoureuse de ses étudiants »; quels sont les pré-requis pour espérer intégrer l’une de vos formations​ ?

Pour s’épanouir dans le Programme Grande Ecole ou en Master of Science à Albert School, il faut aimer les mathématiques, puisque 9 heures par semaine y sont consacrées, auxquelles viennent s’ajouter 7 heures de data pour la 1ère année par exemple.

Il faut avoir compris l’intérêt de marcher sur deux jambes : la data et le business et avoir un bon esprit pratique; en effet, les étudiant/e/s sont mis en situation toute l’année pour résoudre des situations véritablement rencontrées en entreprise.

Pour les Masters of Science, il existe des prérequis techniques selon les thématiques des MSc (en finance, marketing, et business) en plus des compétences en mathématiques et data.

picto tonavenirVous insistez sur le fait que le test de logique qui suit l’envoi du dossier de candidature n’est pas un test de mathématiques tout en précisant que vous vous adressez à « des élèves qui ont une véritable appétence » pour cette matière; un lycéen n’ayant pas un très bon niveau en mathématiques ou n’ayant pas opté pour cet enseignement de spécialité sera-t-il en mesure de réussir votre test ?

Le jury est attentif à ce que les candidates et candidats aient un niveau suffisant en mathématiques pour ne pas se retrouver en situation d’échec.

Si la spécialité maths est un atout certain, certain/e/s admis/es avaient pris maths complémentaires en filière générale ou sont issus de STMG ou ST2I.

Un/e lycéen/ne qui n’a pas d’excellentes notes en mathématiques, parce qu’il/elle a des difficulté avec un professeur ou avec les méthodes d’enseignement, souvent abstraites du lycée a toutes ses chances s’il montre sa détermination et s’en donne les moyens en rattrapant ses éventuelles lacunes après l’admission si le jury la/le juge capable.

Concernant le test, il s’agit principalement d’évaluer l’esprit logique et l’agilité d’esprit des candidat/e/s.

picto tonavenirL’entretien oral (ultime étape du processus d’admission) se déroule systématiquement en distanciel. Pourquoi avoir privilégié ce type de format plutôt qu’un entretien en présentiel ?

L’entretien d’admission est maintenant proposé en distanciel ou en présentiel, selon le souhait et les possibilités matérielles de la candidate ou du candidat.

L’un au moins des fondateurs de Albert School participe au jury d’admission. L’entretien se compose de 3 parties, la première vise à faire la connaissance de la candidate ou du candidat, son parcours, ses motivations personnelles, ses projets.

La deuxième partie consiste en un “brainteaser”, une question ouverte l’invitant à réfléchir à voix haute afin de développer un raisonnement logique pour résoudre la question qui lui est posée et aboutir à une estimation chiffrée étayée.

La troisième partie est l’occasion de se pencher sur ses motivations à rejoindre Albert School, en langue anglaise.